Hacer una gira a casa antes de salir para tanto tiempo no es una mala idea. Podía llenar mi cabeza de imágenes de mi nación antes de vivir la soledad en el territorio americano desconocido. Más técnicamente, era la oportunidad de entrenar y intentar mi equipo. Una bicicleta es como zapatos nuevos, tiene que romper un poco par ser confortable. Normalmente, los defectos aparecen en los primeros miles de kilómetros. Así, me encontré con un mal funcionamiento del sistema de los pedales entre Chambord y La Tuque, cuando mi ordenador de bicicleta estaba a 970 kilómetros. Es mejor que me pasa ahora que en la tundra! Continue reading →

Going around my place before leaving for that long wasn’t a bad idea. I was able to fill my mind with imagery from my nation before confronting the solitude in the unknown of the American continent. More technically, it was the occasion to train and to test my equipment. A bike is like a pair of shoes: you have to break it when it’s new to make it comfortable. Often, defects show up in the first thousand kilometers. Apparently I wasn’t out of that when my paddle system broke down between Chambord and La Tuque, while my bike meter was showing 970 km. Better to happen here than in the tundra!  Continue reading →

Faire un tour chez-soi avant de partir pour une si longue période n’était pas une mauvaise idée. J’ai pu me remplir la tête d’images de mon coin de pays avant d’affronter la solitude dans l’inconnu du territoire américain. Plus techniquement, c’était l’occasion de m’entraîner et de tester mon équipement. Un vélo, c’est comme une paire de souliers, il faut le casser un peu lorsqu’il est neuf. Et le meilleur moyen, comme les souliers de Félix Leclerc, c’est de voyager. Souvent, les défauts sortent dans le premier mille kilomètres. Et comme de fait, je me suis retrouvé avec un mauvais fonctionnement du pédalier entre Chambord et La Tuque, alors que le cyclomètre affichait 970 km. Mieux vaut que cela m’arrive maintenant que dans la toundra! Continue reading →