Peruvian chronicles (1) : Perspectives

Chota The toys

Maybe it was perceivable at the end of the Ecuadorian video, but I wasn’t in my best shape. Small parasites have taken control of my intestine. I had pills against that, but still, it was working hard. I stopped for a little day of rest in the first Peruvian town that could offer me a bed.

By coincidence, I stopped during a holiday. « Nation’s day ». On TV, the army, the police and other civil groups were marching on the capital’s streets under the eye of the Republic’s President. The new war toys were shown, acquired for millions. I walk on Namballe’s streets towards the central square to see if the Internet signal is back at the cybercafe (without success) and I listen to this never-ending military fanfare out of the neighbors’ TVs.

I get sad to see Continue reading

Chroniques péruviennes (1) : Perspectives

Chota

Les jouets

Peut-être que cela paraissait un peu à la fin du vidéo sur l’Équateur, mais je n’étais pas dans ma meilleure forme. Des petits parasites ont pris possession de mon intestin. J’avais des pilules contre cela, mais tout de même, ça travaillait. Je me suis donc arrêté pour une petite journée de congé dans le premier village péruvien qui pouvait m’offrir un lit.

Par hasard, je m’arrêtais sur un jour férié. « Le Jour de la Nation ». À la télévision, l’armée, la police et d’autres groupes civils défilaient dans les rues de la capitale sous l’oeil du président de la République. On montrait avec fierté les nouveaux jouets de guerre, acquis à coût de millions. Je marche dans les rues de Namballe vers la place centrale pour voir si le signal Internet est revenu au cybercafé (sans succès) et j’entends en bruit de fond cette interminable fanfare militaire sortir des téléviseurs voisins.

Je m’attriste de voir l’excitation et le bonheur Continue reading

Reporte: Ecuador

DisfruteTres pequeñas semanas, dos de ellas sentado en la bicicleta, eran necesarias para cruzar la Republica Ecuatoriana con olas de influencias del socialismo del siglo 21 a la Chavez. En este poco tiempo, cruzé 8 veces la Grande Divisoria Continental, sin hacer demasiado desvio; la Panamericana se va directamente en la Sierra, andando alrededor de los volcanes. Los picos nevados mas altos eran escondidos atrás los nubes, porque no tuvo suerte con el clima.

Cifras y letras

Ecuador
Desde el 7 al 28 de julio 2013
22 dias, 15 de ellos en la bicicleta
1,203 km, total desde el empezó: 18,950 km
8 cruzadas de la Grande Divisoria Continental
2 pinchadas
80,23 km de media por días sobre la bici (54.70 por días total)
Velocidad media: 13.1 km/h
Día más largo: 116 km
Día más corto: 43 km
Día más rápido: 17,1 km/h
Día más lento: 8.0 km/h
Velocidad máxima: 86.9 km/h

¿ Dondé dormir ?

Dormí sólo una vez en un alojamiento, por lo que no puedo mucho hablar de precio y calidad. Si los ecuatorianos son menos hipersociales y un poco más discreto que los colombianos, pero sin embargo, van a ayudar si lo pueden. Continue reading

Report: Ecuador

DisfruteThree little weeks, two of them sitting on the bicycle, were necessary to cross the little Ecuadorian Republic influenced by Chavez’ 21st century socialism. In so little time, I crossed 8 times the Great Continental Divide, without doing too much detours: the PanAmerican go straight in the Sierra, going around volcanoes. The highest snowy peaks were hidden behind clouds, as I haven’t been lucky for the weather.

Letters and numbers

Ecuador
From July 7th to 28th 2013
22 days, 15 of them on the bicycle
Rainy days: 17
1,203 km, overall total: 18,950 km
8 crossings of the Great Continental Divide
2 flat tires
80.23 km per bike day in average (54.70 par total day)
Average speed of 13.1 km/h
Largest day: 116 km
Shortest day: 43 km
Fastest day: 17,1 km/h
Slowest day: 8.0 km/h
Maximum speed: 86.9 km/h

Where to sleep?

I slept only once in commercial lodging, so I won’t be able to talk about price and quality. If Ecuadorians are less hyper socials and a little bit more discreet than Colombians, they will nonetheless help you out if they can. Continue reading

Bilan : Équateur

DisfruteTrois petites semaines, dont deux assises sur le vélo, m’ont permis de traverser la petite république équatorienne aux élans de socialisme du 21e siècle à la Chavez. En si peu de temps, j’ai traversé 8 fois la Grande Division Continentale, et ce, sans trop faire de détours. La Panaméricaine passe directement dans la Sierra, contournant les volcans ; les plus hauts pics enneigés étaient cachés par les nuages, car je n’ai pas été chanceux du côté de la météo.

Des chiffres et des lettres

Équateur
Du 7 au 28 juillet 2013
22 jours dont 15 à vélo
Jours avec pluie : 17
1 203 km, total à l’odomètre : 18 950 km
8 traversées de la Division Continentale
2 crevaisons
80,23 km en moyenne par jour pédalé (54,70 par jour total)
Vitesse moyenne de 13,1 km/h
Journée la plus grande : 116 km
Journée la plus courte : 43 km
Journée la plus rapide : 17,1 km/h
Journée la plus lente : 8,0 km/h
Vitesse maximale : 86,9 km/h

Où dormir ?

Je n’ai dormi qu’une seule nuit en hébergement commercial, donc je ne pourrai pas vraiment parler des prix et qualité. Si les Équatoriens sont moins hypersociables et un peu plus discrets que les Colombiens, il n’en reste qu’ils n’hésiteront pas à donner un coup de main s’ils le peuvent. Continue reading